C’est elle qui fonctionnait le mieux. Tout d’abord par sa simplicité : des tubes colorés et de la lumière.
Ensuite par le double emploi qu’entraîne un seul et même décor : en volume, l’espace du jardin ; en aplat, celui de la prison. Le mélange de ces deux univers permet de suggérer la semi-liberté des prisonniers.
Enfin, pour les contrastes engendrés par le décor : une lumière de fond blanche et froide, des tubes verts et lumineux (comme symbole de la nature) et des ombres simples très démarquées, dures.

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