Céline, Anaïs

 

12. Acte II, Scène 1


Florestan est enchaîné mais peut se mouvoir dans l’espace. Derrière un rideau transparent, une ombre se déplace.L’aspect sombre et fermé de la scène est synonyme d’oppression.
Les chaînes expriment l’emprisonnement et le renfermement. L’ombre représente l’esprit halluciné de Florestan (il croit apercevoir sa femme Fidelio).
L’écran reflète l’esprit de Florestan ; l’immatérialité.

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